Enrique Iglesias et Anna Kournikova sont à nouveau parents

La petite tribu d’Enrique Iglesias et Anna Kournikova a accueilli un nouveau membre. Les amoureux qui sont déjà parents de jumeaux, ont annoncé la naissance de leur troisième enfant sur leur compte Instagram respectif le 13 février 2020.

Une petite fille arrivée en secret 

L’ancienne joueuse de tennis a accouché d'une petite fille le 30 janvier 2020. Son mari et elle ont dévoilé les photos du moment magique où ils l’ont vu pour la première fois. Ils avaient écrit pour seule légende “My Sunshine (mon rayon de soleil)” puis “01.30.2020”.

www.instagram.com/p/B8hHxfQpBbv/

Si les parents ont mis près de 15 jours pour présenter leur nouvel enfant, cette annonce n’est pas tout à fait une surprise. Le frère aîné du chanteur Julio Iglesias Jr. avait, en effet, gaffé pendant une émission de radio chilienne ADN, le 7 février dernier.

Alors que l’animateur lui demandait s’il était heureux de bientôt devenir tonton pour la troisième fois "Je suis déjà devenu tonton, mon frère en a trois. Il est très heureux, il est comblé dans la vie et dans la musique, de toute évidence". Le présentateur a alors demandé "Est-ce que le bébé est déjà né ?", et il avait tout simplement répondu “oui”. En revanche, il avait refusé d’en dire plus

twitter.com/enriqueiglesias/status/1228023315710738432

Si maintenant l’arrivée de la petite sœur de Lucy et Nicholas (26 mois) est officielle, les parents très discrets sur leur vie privée, n’ont pas précisé son prénom.

Un bébé né par césarienne ?

Enrique Iglesias et Anna Kournikova - qui n’avaient pas annoncé officiellement cette deuxième grossesse - ont donné peu de détail sur la naissance de leur troisième enfant. Toutefois, les photos semblent indiquer que la sportive ait accouché par césarienne.

www.instagram.com/p/B8hGBwcpf1z/

Qu’est-ce qu’une césarienne ?

La césarienne est une intervention chirurgicale sous péridurale ou anesthésie générale qui consiste à retirer le bébé de l’utérus de la mère grâce à une incision de la paroi abdominale et utérine.

Cette opération - qui représente environ 20% des naissances en France - peut être programmée par les médecins :

• si le bébé est dans une mauvaise position ;
• si le bassin de la future maman est trop étroit pour permettre un accouchement par voie basse ; 
• si le bébé est trop gros ;
• dans certains cas de grossesse à risque (grossesse multiple, maladie cardiaque, herpès génital, mauvais placement du placenta, pré-éclampsie…).

La césarienne est parfois décidée en urgence pendant le travail. Les médecins optent pour cette intervention lors l’accouchement par voie basse se révèle difficile ou quand des signes de souffrances fœtales sont observés.

Le séjour à l’hôpital des femmes ayant eu une césarienne est souvent allongée d’une journée ou deux par rapport à celui des mamans ayant accouché par voie vaginale. L’opération laisse généralement une cicatrice sur le bas-ventre des patientes.

Quels sont les risques de la césarienne ?

Pour la maman

Comme toutes les opérations chirurgicales, la césarienne comporte des risques. Il est possible de développer une infection au niveau de la plaie, surtout si une sonde urinaire a été posée. Les hémorragie sont plus fréquentes. 

Certaines mamans vivent mal de ne pas être parvenues à accoucher "naturellement". Ce sentiment de déception peut entraîner des difficultés émotionnels comme de l’anxiété. Les troubles de l’attachement ou de dépression post-partum sont également plus élevés. 

Pour les bébés

Les césariennes représentent peu de danger pour les enfants. Néanmoins, ils ont plus de risque de souffrir de détresse respiratoire transitoire. En effet, les bébés ne parviennent pas toujours à évacuer le liquide présent dans leurs poumons. Pour cela deux raisons possibles  :

• Les poumons ne sont pas comprimés pendant le passage par le bassin et le vagin de la mère. Or "ce massage" facilite l’expulsion du liquide.
• Si la césarienne est effectuée sans travail préalable, le bébé n’a pas reçu les hormones qui facilitent la maturation pulmonaire.

De plus, dans certains cas rares (1% des césariennes), les médecins font une incision trop profonde et blessent les bébés.