Les bouleversements hormonaux
Si elle est unisexe, la graisse viscérale touche tout de même plus les femmes. La faute aux œstrogènes dont le taux chute à la ménopause. On observe alors un déplacement de la graisse des hanches vers la taille. Mais les hommes entre 45 et 65 ans peuvent vivre la même chose à l’andropause. Ce phénomène se traduit par une baisse de la testostérone. Si ménopause et andropause sont inévitables, "il existe des traitements hormonaux pour limiter leurs conséquences", rassure Florence Rossi.