3 techniques pour en finir avec la sécheresse vaginale

A l’approche de la ménopause, de nombreuses femmes sont concernées par la sécheresse vaginale. Mais ce déficit de lubrification n’est pas une fatalité. Préliminaires, lubrifiants artificiels… Des solutions existent.
© Istock

On insiste sur les préliminaires

Lors d’un rapport sexuel, les préliminaires ont une réelle fonction: celle de favoriser la production d’une substance spécifique qui va permettre de lubrifier les parois vaginales. Chez la femme, cette sécrétion est étroitement corrélée à l’intensité du désir. Pour accroître l’excitation, il est donc indispensable de prendre son temps. En effet, le plaisir féminin est plus complexe que celui de l’homme et requiert de la patience.

On fait l’amour souvent

Eh oui, la fréquence des rapports sexuels a également une incidence directe sur la lubrification vaginale! Le principe est simple: plus on fait l’amour, plus l’hydratation de la cavité vaginale sera qualitative. La raison? Le contact des muqueuses du vagin avec le liquide séminal masculin accentue la lubrification. Cela s’explique par la richesse du sperme en prostaglandines, des hormones suffisamment riches en matières grasses pour être hydratantes.

On utilise des lubrifiants artificiels

Lorsque le déficit d’hydratation est trop important, il est recommandé de recourir à des lubrifiants artificiels. Sans leur utilisation, la pénétration peut s’avérer inconfortable, voire douloureuse. De nombreux gels lubrifiants sont vendus en parapharmacie ou en grande surface. Les lubrifiants à base de silicone ou d’eau sont à préférer à des produits plus gras composés d’huile ou de vaseline. Le mieux reste encore de demander conseil à son gynécologue.

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