Alimentation et arrêt du sport
Sauf s'il s'agit d'un accident qui immobilise et interdit tout exercice sportif, il faut vraiment bien réfléchir avant de prendre la décision d'arrêter le sport, surtout quand on le pratique intensément.
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Mal être

La pratique d'un sport fait sécréter des endorphines dans le cerveau, ces neuromédiateurs qui luttent contre la douleur et sont aussi responsables du bien-être que l'on ressent après l'exercice du sport. Comme la morphine, elles induisent un phénomène de dépendance et ce sont elles qui conduisent à s'entraîner de plus en plus. Il est évident qu'avec l'arrêt du sport, la sécrétion d'endorphines diminue considérablement et qu'alors le sportif se trouve en véritable état de manque. D'où une situation de mal-être qui est obligatoirement nuisible à sa santé, même s'il ne cherche pas une compensation dans l'alcool ou dans une autre drogue (un bon pétard euphorisant !), ce qui est hélas fréquent.

Conserver une activité physique

La bonne solution pour éviter ce mal-être et la prise de poids, c'est de conserver quand même une activité physique. Soit limiter la pratique du sport quand elle était intense, soit la remplacer par de la marche, de la gymnastique à la maison, un vélo d'appartement, etc.

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