Tous accros aux tranquillisants ?
Sommaire

Attention au démarrage et à l'arrêt !

Les effets indésirables des tranquillisants se manifestent surtout en début de traitement (risques d'accident de la route, de chute, troubles de la mémoire, de la concentration…) et à l'arrêt (symptômes de sevrage). D'où des protocoles pour l'initiation et pour le sevrage, qui reposent sur une augmentation ou une diminution progressive des doses.

Les tranquillisants

Les anxiolytiques

Benzodiazépines anxiolytiques : Xanax, Lexomil, Quiétiline Gé, Tranxène, Vératran, Valium, Victan, Témesta, Nordaz, Séresta, Lysanxia.

Autres anxiolytiques : Buspar, Covatine, Stresam, Atarax, Equanil, Lyrica.

Les hypnotiques

Benzodiazépines hypnotiques : Nuctalon, Rohypnol, Havlane, Noctamide, Mogadon, Normison.

Hypnotiques apparentés aux benzodiazépines : Stilnox, Imovane.

Autres hypnotiques : Mépronizine, Noctran, Donormyl, Nopron, Phénergan, Théralène.

En conclusion, les tranquillisants ne doivent pas être pris à la légère, mais pour des troubles bien diagnostiqués et sur une durée la plus courte possible.

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Source : (1) Office parlementaire d'évaluation des politiques de santé, " Le bon usage des médicaments psychotropes ", juin 2006. (2) Pr Malcolm Lader, " Tranquillizers and antidepressants, when to take them, how it stop ", Editions Press, 2008.