Saint Valentin : attention à l’alcool

Sauf si vous n’en buvez jamais, jamais, il n’y a pas de Saint Valentin sans alcool ! Tout pousse à en consommer. Mais ça peut mener au fiasco au lit.
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On a toutes les raisons du monde pour boire le jour et le soir de la Saint Valentin.

  • L’environnement : c’est un jour de fête et tout pousse à en consommer.
  • L’état d’esprit négatif : on est un peu en bisbille ou en arrière de la main avec son Valentin (ou sa Valentine), on n’a pas du tout envie de fêter ça, mais on est obligé(e) et on se dit que champagne, vin et whisky vont faire passer le truc.
  • L’état d’esprit positif : je t’aime, tu m’aimes, on trinque à notre amour.

Le slogan bien connu dit : « Un verre ça va, trois verres bonjour les dégâts ». Il se justifie pleinement ce jour là, même - et surtout - si on ne dîne pas au restaurant mais à la maison et que l’on ne prend pas le volant ensuite.

Une petite dose d’alcool agit sur le système nerveux : ça détend et désinhibe, c’est bien connu. Donc, ça favorise le crac-crac aussi bien chez les dames que chez les messieurs.

MAIS

L’alcool intervient dans le métabolisme de la testostérone, cette hormone mâle qui gouverne le désir sexuel masculin et qui booste aussi le féminin. Mais pas dans le bon sens car il diminue la diffusion de la testostérone dans l’organisme. Et donc l’envie et/ou la possibilité d’un crac-crac conséquent.

Une ou deux coupes de champagne sont sans dangers, mais une bouteille à deux ou un apéritif plus du vin plus un digestif, c’est une autre histoire. Celle de se retrouver flapi(e) quand vient le moment de passer au lit !

Bouteille d’eau sur la table, que ce soit au restaurant ou à la maison, c’est plus prudent.

Paule

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