Le côté obscur de Facebook

C'est l'endroit où il faut être. Et ceux qui n'y sont pas semblent vraiment restés bloqués au temps des dinosaures. Où ca ? Sur Facebook ! Pourtant, aux côtés de ses aspects ludiques, voire positifs, Facebook présente aussi une facette négative, voire dangereuse.
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Le risque d'addiction à Facebook existe

" Mon mari passe environ 2 heures tous les soirs sur Facebook, c'est une vraie drogue. Il a commencé quand il cherchait du travail, et je le comprenais. Mais il a trouvé un emploi et il continue à se connecter tous les soirs de plus en plus longtemps... " C'est parfois encore pire pour les " no-life ", ces personnes qui ne mènent plus de vie réelle, mais vivent uniquement sur la toile, engluées comme des insectes scotchés sur une toile d'araignée et incapables de s'en libérer. Attention, ce n'est pas parce que l'on passe tous les jours quelques instants sur Facebook que l'on est dépendant !

Facebook diminue votre aptitude de concentration...

C'est surtout évident chez les adolescents. Le soir après le collège (le lycée, l'université...), ils surfent sur Facebook tout en faisant leurs devoirs de maths, leurs dissertations, leurs recherches sur internet. Ils entrecoupent leur travail de coups d'oeil sur leur Facebook. Ils tchatent avec leurs amis... Impossible de se concentrer en profondeur, de réfléchir vraiment à un sujet de philo ! Une étude montre que 52 % des enfants de 13 à 17 ans avouent aller sur un réseau social pendant qu'ils font leurs devoirs. Et 25 % le font au moins 30 minutes tous les jours. (1)

Et c'est parfois tout aussi vrai pour les adultes. Certaines entreprises bloquent l'accès à Facebook, estimant que ce site fait perdre des heures de travail aux salariés. On estime qu'en moyenne, 30 minutes sont perdues chaque jour sur Facebook par les travailleurs ! (2)

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