INTERVIEW : La sexologie au bac !
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e-sante : Au Canada, la sexualité fait-elle partie du programme scolaire ?

Sophie Brousseau : La sexualité est encore présente dans les écoles, mais elle n'est pas aussi présente que le voudrait les sexologues. Le cours est intitulé : « Formation personnelle et sociale » et est beaucoup axé sur la génitalité au détriment du côté émotionnel des relations amoureuses et sexuelles. Les cours sont présents à l'école primaire, c'est-à-dire pour les enfants de 6 à 12 ans et au secondaire pour les enfants de 13 à 17 ans.

e-sante : Quels sont selon-vous les principaux problèmes de sexualité que nos contemporains rencontrent aujourd'hui ?

Sophie Brousseau : Les problèmes sont très variés et dépendent de l'âge des personnes. Les adolescents se posent beaucoup de questions sur les premières relations sexuelles, la contraception, la grossesse, les maladies transmises sexuellement, etc. Chez les adultes, les dysfonctions sexuelles sont très souvent abordées, comme l'anorgasmie, les troubles érectiles, les éjaculateurs précoces et les pannes de désir. De plus en plus de personnes consultent des sexologues, afin qu'ils puissent les aider à améliorer leurs relations sexuelles et de couple.

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