Paresseux, arrêtez de culpabiliser !
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Et si j’organisais ma paresse ?

Non seulement il est bon d’accepter cette paresse, de l’écouter, mais peut-être même de l’organiser. Certains, comme Joëlle, s’octroient un temps pour ne rien faire : « Chaque mois, je prends un week-end où je ne fais rien. Aucun ménage, aucune cuisine, aucun rangement. Je traîne au lit, on mange des surgelés, et je ne programme aucune sortie. Cela me ressource et j’ai besoin de ces deux jours pour restez dynamique ».

Alain, lui, part une semaine tous les 6 mois faire une retraite dans un monastère : « Je passe une semaine sans téléphone, sans Internet, sans télévision, et sans rien faire de ce que je fais dans la vie de tous les jours. A chaque fois, quand je reviens, c’est comme une renaissance avec une énergie intense ».

Et d’autres se l’octroient chaque jour comme Anne qui médite 20 minutes tous les matins ou Coralie qui avoue avoir un besoin vital de passer 30 minutes chaque jour sous la douche à penser… même si elle culpabilise de gaspiller l’eau chaude ! » Alors, comme eux, pensez à vous octroyer des moments de calme, sans action, de manière à vous ressourcer, à laisser de la place à votre créativité et à la naissance de vos projets de vie.

A lire:

Paresse, histoire d’un péché capital d’André Raush, éditions Armand Colin 2013.

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Source : André Raush, « Paresse, histoire d’un péché capital », Editions Armand Colin, 2013.